
Le bassin de la vasque olympique des JO traité par notre anticalcaire à vortex ACQUACALC
Nous avons équipé le traitement d'eau de la fontaine du Jardin des Tuileries qui a accueilli la vasque de la flamme olympique avec notre anticalcaire à vortex

Nous avons équipé le traitement d'eau de la fontaine du Jardin des Tuileries qui a accueilli la vasque de la flamme olympique avec notre anticalcaire à vortex
Ingénio, fabricant français et leader en désemboueurs écologiques basé dans le Gard, livre le plus gros désemboueur-clarificateur ABC PROTECT© jamais construit en diamètre 500 mm à EQUANS pour équiper les réseaux de chaleur et d’eau glacée de la nouvelle zone Cambacérès (phase 1) de Montpellier.
La technologie innovante et révolutionnaire développée par ingénio depuis 1999 permet de traiter l’embouage, la corrosion et l’entartrage sans produits de conditionnement d’eau, de réduire les coûts d’exploitation, d’optimiser les rendements énergétiques et de pérenniser tous les équipements des installations thermiques (de la production aux émetteurs terminaux).
Les désemboueurs à vortex ABC PROTECT© agissent en préventif et en curatif comme de véritables régulateurs naturels pour clarifier et traiter l’eau en permanence quelle que soit le débit, les différentiels de température et la longueur des réseaux hydrauliques.
Ils s’inscrivent totalement dans une démarche environnementale respectueuse de l’eau et de l’environnement grâce à la réduction des rejets en CO² générée par la diminution des consommations en énergie (gaz, fuel, électricité, bois).
Après l’Assemblée Nationale et le Parlement Européen, ingénio continue sa progression et son statut de leader sur le marché des désemboueurs écologiques.
La zone Cambacérès se veut une zone multi-activités de 60 hectares qui accueillera :
La seconde phase de 18 hectares accueillera :
Une équipe de chercheurs québécois vient de mettre au point un procédé écologique pour dégrader l’atrazine dans l’eau. Classé comme étant le pesticide « le plus à risque » par le ministère de l’Environnement, ce produit chimique est omniprésent dans les rivières agricoles du Québec. On le retrouve aussi dans l’eau potable de millions de personnes au pays.
En savoir plus : https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/202002/23/01-5262118-pesticides-decontaminer-leau-a-laide-du-soleil.php
En France, les contrôles s’efforcent par exemple à rechercher un nombre croissant de molécules dans les cours d’eau, en privilégiant évidemment les substances les plus dangereuses pour la santé humaine et l’environnement.
Or on retrouve dans les rivières ce qu’on y a rejeté sur le bassin versant et l’homme a considérablement bouleversé le cycle des éléments naturellement présents dans les cours d’eau (comme les nitrates, les phosphates ou la matière organique). Les éléments issus de l’industrie chimique sont également à prendre en compte – soit potentiellement plus de 100 000 substances issues des activités humaines. On y trouve majoritairement des pesticides, mais également des hydrocarbures, des plastifiants, des médicaments et bien d’autres composés aux potentiels effets de perturbateurs endocriniens, susceptibles d’être neurotoxiques, cancérogènes, ou encore d’altérer la fertilité et le génome.
Ces résidus prennent en général la forme de micropolluants, c’est-à-dire de substances toxiques à des doses très faibles (de l’ordre du microgramme par litre, soit l’équivalent de deux pincées de sel dans une piscine olympique). Ils ne sont malheureusement pas tous recherchés et leurs effets sur le long terme en présence d’un cocktail d’autres molécules sont peu, voire pas du tout, connues.
Dans les cours d’eau français, les pesticides et leurs produits de dégradations sont les premières substances détectées. Peu étonnant dans un pays où la surface agricole utile représente 29 millions d’hectares, soit plus de la moitié du territoire.
Leur concentration varie en fonction de la période à laquelle les produits phytosanitaires sont appliqués (généralement au printemps). Elle dépend également des cultures présentes sur le bassin versant : la vigne, les vergers, ou encore les céréales nécessitent par exemple de nombreux traitements. Les herbicides sont surtout détectés en rivière car ils ont des propriétés qui les rendent plus sensibles au ruissellement. Ainsi, le glyphosate et son produit de dégradation l’AMPA sont les molécules les plus souvent détectées, car très largement utilisés avant la mise en culture.
Mais cette présence dépend également de la persistance des pesticides : la présence d’atrazine (herbicide pourtant interdit depuis 2003) et de son produit de dégradation, la dééthylatrazine, s’explique par un transfert assez lent vers les cours d’eau. S’ils se répandent plus rapidement en période de pluie, une grande partie des pesticides migre de façon diffuse vers les eaux souterraines, pour être restitués plusieurs années plus tard dans les eaux de surface.
La maintenance est une opération essentielle opérée par un professionnel qualifié pour garantir le bon fonctionnement de l’installation de chauffage ou/et d’eau glacée.
Elle peut s’appliquer à tout ou partie de l’installation suivant le type de contrat engagé (voir ci-après).
Le rôle premier est l’entretien régulier des équipements thermiques et hydrauliques :
La surveillance et la conduite consistent :
L’entretien consiste :
La maintenance corrective comprend et inclut :
Le dépannage consiste :
La réparation consiste :
La remise en état du matériel dont l’exploitant à la charge, est effectuée pendant toute la durée du marché ; les interventions sur site sont poursuivies sans interruption jusqu’à la résolution des pannes et défaillances, et ce quel que soit le jour de l’année.
Le titulaire du marché de maintenance doit normalement assurer auprès du maître d’ouvrage :
vis à vis des installations dont il a la charge, afin :
On distingue différents types de contrats :
Tous les contrats peuvent s’ajouter :
Les prestations à réaliser
Le contrat de maintenance doit absolument comprendre l’énoncé de tous les équipements à entretenir avec la périodicité des tâches.
Voici un exemple concret que notre bureau d’études à réaliser sur un site industriel :
MATERIEL PRIS EN CHARGE
|
Nbre |
LOCALISATION |
Garantie demandée |
DELAI D’INTERVENTION |
DELAI REPARAT |
||||||
MATERIEL |
Type |
|
Situation |
P2 |
P3 |
H |
½ J |
J |
S |
|
|
Chaudières |
VIESSMANN 500 kW + brûleur |
2 |
Chaufferie |
X |
X |
|
X |
|
|
A |
24 |
Pompes |
WILO simple |
2 |
Chaufferie |
X |
X |
|
X |
|
|
A |
24 |
Régulation |
HONEYWELL |
1 |
Chaufferie |
X |
|
|
X |
|
|
A |
24 |
Robinetterie + accessoires |
Vannes, soupapes, Filtres, expansion |
ens |
Chaufferie |
X |
|
|
|
|
|
A |
|
Echangeur |
VITHERM + pompes |
1 ens |
Chaufferie |
X |
|
|
X |
|
|
A |
|
Ballon ECS |
LACAZE TOP 750 litres |
1 |
Chaufferie |
X |
|
|
|
X |
|
A |
|
Disconnecteur |
|
1 |
Chaufferie |
X |
|
|
|
|
|
A |
|
Groupe Froid |
Type CIAT 170 kW froid |
4 |
Terrasse |
X |
X |
|
X |
|
|
A |
24 |
Pompe froid |
SALMSON |
1 |
Extérieur |
X |
x |
|
X |
|
|
A |
24 |
CTA |
CIAT 1.700 m3/h |
6 |
Terrasse |
X |
|
|
X |
|
|
A |
24 |
Ventilo-convecteur |
VCN + VCA |
224 |
Locaux rez,N1,N2 |
X |
|
|
|
X |
|
A |
24 |
Le code l’environnement, fixe des contraintes différentes selon la puissance des installations.
Chaufferies de puissance comprise entre 4 et 400 kW :
Chaufferies de puissance supérieure à 400 kW, application du Code de l’environnement:
Article L241-1 (Ordonnance n°2011-504 du 9 mai 2011 - art. V) du Code de l’Energie :
« La mise en œuvre des installations de chauffage et de climatisation par tous exploitants ou utilisateurs doit être assurée de façon à limiter la température de chauffage et de climatisation des locaux et la température de chauffage de l'eau sanitaire et de l'eau des piscines à des valeurs fixées par voie réglementaire. »
Le RSD – disponible auprès de chaque préfecture- contient des dispositions relatives à :l’ entretien des chaudières, le ramonage des conduits de fumées, les disconnecteurs d’eau ..